PARKINSON

In vitro

  • Cultures de neurones mésencéphales primaires avec astrocytes immatures capables de tuer spécifiquement les neurones dopaminergiques dans différents milieux.
  • Cultures de neurones mésencéphales primaires avec / sans astrocytes.

Traitement avec MPP+, roténone
  • Cultures de neurones mésencéphales primaires avec / sans cellules microgliales.
Des composés ayant des activités anti-inflammatoires potentielles pourraient être testés (plusieurs traitements possibles en fonction de la voie d'intérêt)
  • Cultures cellulaires primaires de neurones corticaux, striataux et dopaminergiques infectés par des vecteurs viraux contenant de l'a-synucléine agrégée.
Read-out
Survie cellulaire, prolifération cellulaire, changements morphologiques, mesure des protéines, etc.
Survie cellulaire, mesure des cytokines, prolifération cellulaire, changements morphologiques, densité protéique
Survie cellulaire, agrégation

Rongeurs

  • Souris MPTP et souris/rat 6-OHDA
  • Modèles transgéniques de souris alpha-synucléine, Parkin KO, souris LRRK2 G2019S
  • Synucléinopathie nigrostriatale : modèles à médiation par vecteur viral (souris CAV2, rats AAV) codant pour l'alpha-synucléine (WT ou A53T)
  • Un modèle de rat "double hit" : co-expression de l'alpha-synucléine et du domaine terminal C de LRRK2-G2019S (augmentation de la toxicité de l'alpha-synucléine).
Read-out
Changements comportementaux, nombre de cellules stéréologiques dans la substantia nigra (neurones TH-positifs), nombre d'agrégats d'alpha-synucléine, perte partielle de fibres dopaminergiques/sites de liaison de la DAT à l'aide de radiotraceurs microPET, etc.

Primates non humains

  • Modèle de lésion MPTP chez le singe écureuil, le macaque ou le babouin.
  • Synucléinopathie nigrostriatale : modèles à médiation par vecteur viral (CAV2, AAV) codant pour l'alpha-synucléine (WT ou A53T).
Read-out
Changements comportementaux, comptage stéréologique des cellules dans la substantia nigra (neurones TH-positifs), nombre d'agrégats d'alpha-synucléine, perte partielle des fibres dopaminergiques/sites de liaison de la DAT à l'aide de radiotraceurs microPET, etc.

Homme

  • Centre d'investigation clinique (phase I et II), centre de ressources biologiques, cohortes stratifiées de patients
Read-out
Imagerie TEP, TEMP et IRM, marqueurs du système dopaminergique et de la neuroinflammation, plateformes d'analyse du mouvement, neurophysiologie, enregistrements de mouvements anormaux, stimulation magnétique transcrânienne, etc.
Panorama exhaustif de notre offre concernant la maladie de PARKINSON:
  • Recherche fondamentale

    Modèles cellulaires

    Modèle in-vitro de neurones dopaminergiques avec ou sans astrocytes (cultures primaires de mésencéphale d'embryon de rat ou de souris)

    • Evaluation par quantification de la survie neuronale de l'effet neuro-protecteur de molécules dans un modèle de mort spontanée (culture neuronale en présence d'astrocytes proliférants)
    • Evaluation par quantification de la survie neuronale de l'effet neuro-protecteur de molécules dans un modèle dégénératif induit (neurotoxines MPTP, roténone, stress oxydatif par excès de Fer,…)
    • Modèle in-vitro de co-cultures neurones dopaminergiques/cellules micro-gliales (cultures primaires de mésencéphale d'embryon de rat ou de souris)
    • Evaluation par quantification de la survie neuronale et de l'activité inflammatoire microgliale (dosage de cytokines et mesure du taux de nitrites) de l'effet anti-inflammatoire et/ou immunorégulateur de molécules

    Modèle in-vitro de lignée dopaminergique humaine (cellules SH-SY5Y)
    • Evaluation par quantification de la survie cellulaire de l'effet neuroprotecteur de molécules


    Modèle de cellules iPS humaines
    • Différentiation de lignées caractérisées et issues de patients porteurs de mutations responsables de formes familiales (parkin, pink 1) et lignée contrôle
    • Reprogrammation de fibroblastes issus de patients porteurs de mutations responsables de formes familiales (parkin, pink 1 et LRRK2) et lignées contrôles

    Références :

    Kinugawa K, Monnet Y, Béchade C, Alvarez-Fischer D, Hirsch EC, Bessis A, Hunot S. (2013) DAP12 and CD11b contribute to the microglial-induced death of dopaminergic neurons in vitro but not in vivo in the MPTP mouse model of Parkinson's disease. J Neuro-inflammation, 10(1):82

    Modèles animaux, Modèle zebrafish, Modèles rongeurs (rat, souris)

    Modèle in-vivo rongeurs de dégénérescence des neurones dopaminergiques par l'utilisation de neurotoxines

    Quantification des effets neuroprotecteurs et/ou de plasticité neuronale d'agents thérapeutiques avec l'utilisation de MPTP chez la souris
    • Injection i.p. de MPTP, induisant à la fois un stress oxydatif, un déficit énergétique et une neuro-inflammation. (modèles d'intoxication aigüe, subchronique ou chronique)
    • Evaluation de la perte neuronale, du déficit neurochimique, des altérations motrices et de la neuro-inflammation
    • Possibilité de combiner l'intoxication au MPTP avec des facteurs environnementaux aggravants (inflammation périphérique, protocoles de stress,…)

    Mesure de l'effet anti-parkinsonien d'agents thérapeutiques avec l'utilisation de 6-OHDA :

    - Injection stéréotaxique unilatérale de 6-hydroxydopamine 6-OHDA chez le rat ou la souris entrainant une lésion unilatérale de la voie nigrostriée et un dysfonctionnement moteur (pour une lésion forte et rapide, injection nigrale ou dans le faisceau médian ; pour une lésion partielle et progressive, injection dans le striatum dorsal)
    • Analyses comportementales
      • Test rotatoire sous apomorphine: évaluation de la gravité de la lésion par comptage du nombre de rotation de l'animal
    • Analyse video de la locomotion (CATWALK, Noldus Equipments)
      • Analyse semi-quantitative de l'incidence des différents symptômes (THE OBSERVER, Noldus Equipments)

    Modèle rongeur in-vivo de dégénérescence dopaminergique par induction d'une synucléopathie

    Quantification des effets neuroprotecteurs et/ou de plasticité neuronale d'agents thérapeutiques avec l'utilisation vecteurs viraux (CAV2) conduisant l'expression de formes sauvages ou pathologiques (mutation, tronquée,..) de l'alpha-synucléine
    • Injection stéréotaxique striatale chez la souris de CAV2 (hSyn, hSynA53T/A30P, hSyn110) induisant une synucléopathie dégénérative progressive (1 à 4 mois)
    • Evaluation de la perte neuronale, de l'agrégation protéique et de la neuroinflammation

    Modification transcriptomiques, histologiques, biochimiques, comportementales et par imagerie in vivo lié à la surexpression de a-synucléine (hSyn, hSynA53T/A30P) [en cours de développement]
    • Injection stéréotaxique dans la substance noire chez le rat de lentivirus ou AAV2/6 (hSyn, hSynA53T/A30P, hSyn110) induisant une synucléopathie dégénérative progressive
    • Evaluation de la perte neuronale, de l'agrégation protéique et de la neuroinflammation par histologie et imagerie

    Modèle in-vivo de souris knock-out pour les gènes parkin et pink 1

    Modèle in vivo prodromal liés à la surexpression des mutations de LRRK2 par utilisation de lentivirus et AAV injectées dans la substance noire compacte.

    Modifications transcriptomiques (biomarqueurs) liées à la mutation G2019S de LRRK2 [disponible, en cours d'optimisation)]

  • Recherche préclinique
  • Recherche clinique